L'attaque du Grand Méchant Loo.

[Sykodeus]

L'attaque du Grand Méchant Loo.

L'empire de Séole... Une contrée paisible, un territoire immense, des paysages magnifiques... Un jour sans fin éclaire de sa lumière dorée les joyeux habitants. Voilà plus d'un millénaire que le calme et la félicité sont devenu choses courantes ici. Malheureusement, toute bonne chose a une fin. Le Grand Loo, chef maléfique des territoires de Selynol, où s'est abattu une nuit sans fin, a décidé de mener la vie dure à son voisin proche. Et il s'agit des Séoliens.

Vous seuls pourrez sauver votre empire bien aimé de la peur et de la dévastation, vous seuls pourrez comprendre le but et l'origine des ces forces terrifiantes.

Sous ces allure de Medieval fantasy basique, se cache le premier RP du forum
Il sera simple à jouer, c'est un système fermé... Lorsque vous commencerez, vous serez un modeste paysan, armé de ses plus simples outils de travail, et pourquoi pas devenir plus puissant plus tard ?

Et donc, pour le moment, aucune fiche ne vous est demandée, juste un post avec écrit : "Je m'inscrit !"

A vous !

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Beuh. C'moi le Grand Méchant Loo.

Nan allez, je m'inscrit.

[Sykodeus]

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Ton village avait été pillé. Tu avais la malchance d'habiter dans un village à la limite de l'empire, et voisin direct de Selynol. Les méchantes troupes du Loo avait donc déjà envahi ton village.
Un tirage au sort avait été réalisé, et la moitié des villageois avaient été eventrés, tandis que le reste ont été fait captif.
Heureusement (oopa ) tu as survécu, mais tu es ligoté, au milieu d'un groupe d'hideux Sélyniens.

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"Pris de panique depuis déjà plusieurs heures, j'essayais de me prendre en main afin de réagir convenablement à la délicate situation dans laquelle je me trouvais. Mais la terreur est un ver coriace, et le pauvre fils de paysan que je suis n'est pas habitué à maitriser ses émotions! Il fallu plusieurs heures avant que le calme ne reprenne possession de mon esprit. Le crépuscule répandait déjà le bleu de la nuit sur le fond céleste, et je lançais un funeste regard aux ruines fumantes du village qui avait accueilli mon berceau.

Ma famille, mes amis... Tout ceux que je connaissait et à qui je portais un amour sans égal avaient quittés ce monde de force. Mon corps restait de marbre, mais je pouvais sentir mes entrailles bouillonner, bouillonner de chagrin, bouillonner de colère. Le produit de ce tumultueux mélange ne fut autre qu'un profond sentiment de haine envers le peuple qui avait commis cette monstruosité envers le miens. Vengeance!" Voila ce que chaque partie de mon âme déchirée me criait à présent.

Il fallait que je me sorte de ce pétrin, coute que coute. Malheureusement on ne rompt pas une corde à la simple force de sa volonté! Qui plus est, s'échapper des griffes des Sélyniens pouvait être tout, sauf une partie de plaisir. Je me demandais d'ailleurs pourquoi ces lâches ne m'avaient pas plutôt tués, au lieu de m'infliger la peine qu'est la vie sans liberté.

Alors que mes capteurs s'endormaient, je regardais farouchement mon entourage avant de remarquer que quelques autres prisonniers étaient ligotés à des poteaux à quelques pas de moi. Je chuchotais alors à l'homme le plus proche de moi: "Hé là! Tout va bien?" L'homme semblait être encore inconscient. Il balbutiait quelque chose qui ressemblait vaguement à...

[Pucky]

Je m'inscrit !

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Bon je te préviens pour que tu ne soit pas déçu en plein milieu de partie: Il n'y a pas Gandalf dans ce RP.

[Pucky]

Dans ce genre de RP il y aura toujours un Finwë.

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Whatever the hell that means.

[Sykodeus]

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"Ma Namour, naaan, laissez-la en paix, bande de cafards répugnants qui puent la ***** !!!"
Tu n'es apparemment pas le seul à se sentir envahi par la haine envers les Selyniens, et de tristesse de la perte des proches...
Tu ne peux donc rien faire d'autre qu'attendre un événement inattendu, qui te sauverait la peau, ou, au contraire, mettrai fin à tes jours.
L'aube pointait. Tu venais de passer une nuit sans sommeil, les narines titillées par les horribles relents des Gobs Selyniens. Plusieurs autres hommes s'étaient réveillés, la plupart pleuraient, les conversations étaient sagement évitées, au risque d'éclater en sanglots et de déprimer encore plus...
C'est alors qu'une dizaine de gardes rentrèrent dans la tente. Une rumeur parcourait les prisonniers : un second tirage au sort avait eu lieu, et d'autres hommes allaient se faire tuer.
L'un des gardes te regardait. Il marchait vers toi. Tu priais tous les dieux que tu connaissais pour que tu ne sois pas condamné. Malheureusement, ça ne fonctionne pas. Le garde commence à détacher les liens...

a) Tu te laisses faire sans te débattre, voire même fièrement pour ne pas dévoiler ta peur.
b) Dès que tu es détaché, tu te débats contre le garde et tentes de fuir.


---Pucky---

Les Selyniens avaient envahi ton village. La terreur régnaient, les villageois courraient dans tous les sens dans l'espoir de trouver une cachette, toi y compris. Tu aperçois une porte menant à une cave, vers laquelle tu fonces. Tu tournes la poignée. Horrifié, tu constate qu'elle refuse de s'ouvrir. Tu donnes des grands coups d'épaule, dans l'espoir de faire céder le bois moisi. Et ça marche ! Dans un fracas, la porte se fend en deux, et tu pénètre dans la pièce, d'où une colonie de rats sortent, ignorant les dangers extérieurs. Tu coures, tremblant, vers un empilement de tonneaux, et te caches derrière, et tu attends. Tu attends, une heure, deux. Des pas approchent, et une odeur de pourriture approche. Les tonneaux s'écroulent. Les Selyniens t'avaient repérés.
Ligotés dans une grande tente avec tous les autres du village. Tu redoutais la suite. Un garde s'approche de toi, et te détache. Tu n'ose même pas te débattre, et le gob t'amène sur la jadis superbe place du marché. Au centre, un échafaud, ou un bourreau coupait des têtes de villageois assidûment. Cette vision te glace le sang. Il te mets dans la queue. Un par un, les têtes de tout tes amis tombent. Jusqu'au moment où tu es seul devant l'échafaud. On te met de force, cou dénudé, dans la terrible machine, et bam. Tu aperçois vaguement le fond du panier avant de t'évanouir, éternellement. Non, décidément, tu ne seras jamais un héro. Fin.

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a) Je me laisses faire sans me débattre, voir même fièrement pour ne pas dévoiler ma peur.

[Sykodeus]

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Le Gob te détache prudemment, comme si il s'attendait à une rebellion. Mais il n'en fut rien. Tu voulais mourir dignement, et refusait de montrer ta peur. Il t'attacha les mains dans le dos, et t'emmena sur la place du marché. Tu voyais l'échafaud dépasser, menaçant, toutes autres choses et êtres de la place. Tu fut placé dans la queue des prisonniers, attendant patiemment le moment où tu serai le premier sur l'échafaud. Les autres prisonniers sont effrayés pour la plupart, d'autres pleurent, des femmes hurlent le nom de leurs enfants. Il pleuvait.
Soudain, des cris retentirent. Un groupe de prisonniers, âgés en moyenne d'une trentaine d'année, donnait des coups de pied à leurs gardes, et étaient parvenus à les mettre à terre à l'aide d'un coup bien placé. D'autres gardes venaient en renfort, mais pour le moment, les garçons semblaient avoir le dessus. Il était peut-être encore temps de les aider.

a) Tu va les aider
b) Tu les ignore
c) Tu va les taper, pour te faire mieux voir des Selyniens et pourquoi pas obtenir leur grâce...

Tu peux décrire ton action, sans empiéter sur la suite, si tu vois ce que je veux dire...

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B) J'observe la scène sans grand contentement. A quoi bon participer à un combat où rien ne se gagne? Ces belligérants n'ont qu'à se saigner entre eux, bon débarras!

[Sykodeus]

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La queue se réduisait, les têtes tombaient, des prisonniers avaient rejoints les rebelles, qui résistèrent longtemps. Malheureusement, les gardes avaient afflués, et les avaient éventrés.
L'odeur de mort empestait à présent, même la pluie ne pouvait y remedier. Il restait trois personnes avant ton tour. Tu sentais la peur nouer ton estomac. Deux. La lame cinglait l'air. Une. Tu tremblais de tout ton corps. Plus personne. Tu es debout, devant la funeste machine.

a) Tu laisses échapper ta peur par un grand cri.
b) Tu resistes à cette envie, et t'allonges dignement sur le socle de bois, attendant ton sort (30 % de réussite)

Pour le test de pourcentage, je m'en occupe.

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A) La peur me prend aux tripes, et me fait pousser un cri qui témoigne de mon impuissance. Je m'approche de l'échafaud en pleurant comme un enfant.

[Sykodeus]

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Au moment de crier, une étrange chaleur se dégagea de ton corps, éliminant toute trace de peur. Les Selyniens reculaient, effrayés. Même les prisonniers faisaient un pas en arrière. Tu regarda tes mains et ton corps, et vit qu'il était entouré de flammes !
Soudain, un gob cria, d'une voix gutturale : "Un démon !", et tous ses congénères se ruèrent vers toi.

a) Tu courres vers n'importe quel endroit qui te semble sûre, profitant de la panique générale.
b) tu fais confiance à cette étrange pouvoir, et fais face aux ennemis.
c) autre...

---Pucky---

Les Selyniens avaient envahi ton village. La terreur régnaient, les villageois courraient dans tous les sens dans l'espoir de trouver une cachette, toi y compris. Tu aperçois une porte menant à une cave, vers laquelle tu fonces. Tu tournes la poignée. Horrifié, tu constate qu'elle refuse de s'ouvrir. Tu donnes des grands coups d'épaule, dans l'espoir de faire céder le bois moisi. Et ça marche ! Dans un fracas, la porte se fend en deux, et tu pénètre dans la pièce, d'où une colonie de rats sortent, ignorant les dangers extérieurs. Tu coures, tremblant, vers un empilement de tonneaux, et te caches derrière, et tu attends. Tu attends, une heure, deux. Des pas approchent, et une odeur de pourriture approche. Les tonneaux s'écroulent. Les Selyniens t'avaient repérés.
Ligotés dans une grande tente avec tous les autres du village. Tu redoutais la suite. Un garde s'approche de toi, et te détache. Tu n'ose même pas te débattre, et le gob t'amène sur la jadis superbe place du marché. Au centre, un échafaud, ou un bourreau coupait des têtes de villageois assidûment. Cette vision te glace le sang. Il te mets dans la queue. Un par un, les têtes de tout tes amis tombent. Jusqu'au moment où tu es seul devant l'échafaud. On te met de force, cou dénudé, dans la terrible machine, et bam. Tu aperçois vaguement le fond du panier avant de t'évanouir, éternellement. Non, décidément, tu ne seras jamais un héro. Fin.

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A) Plus rien n'a d'importance pour moi que mon être à présent. Désemparé par ce phénomène auquel je n'ai jamais été confronté, je me contente simplement de trouver un moyen de m'enfuir. Je tourne le dos à la troupe de Sélyniens et m'enfuis vers l'horizon. Je ne rencontre aucune résistance, à mon plus grand bonheur. Je me sens... Puissant.

[Sykodeus]

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Tu coures à toute jambe vers la sortie du village, avec une grande simplicité : les Selyniens semblent te laisser passer, comme si tu étais leur roi. Tu coures avec une vitesse incroyable, et tu ne t'épuises pas. Te voilà sorti du village. Tu courres encore un kilomètre ou deux, pour mettre une distance avec tes attaquants. Ton aura s'atténue.

Vers où te diriges-tu ?

[Twila]

Je m'inscris mais je ne jouerais que de manière très occasionnelle...

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